Enfévrier 1973, Bruce participa à une remise de trophées sportifs dans son ancien collège, Saint-François-Xavier. Au cours de la cérémonie, une porte claqua, et Lee se jeta aussitôt à terre. Plus tard, il confia au Père Grégory, le directeur de l’école, qu’il transportait un revolver dans son sac. Bruce devenait de plus en plus L'année 2021 sera-t-elle celle de la résolution de l'une des affaires judiciaires françaises les plus emblématiques ? Mercredi 27 janvier, la justice a validé la majorité des requêtes formulées par les parents de Grégory Villemin retrouvé mort le 16 octobre 1984 dans la Vologne Vosges. Celles-ci pourraient permettre, grâce aux progrès de la science, d'identifier qui est à l'origine du meurtre de leur fils et ainsi de mettre fin à plus 30 ans de feuilleton judiciaire. Principale requête acceptée celle demandant l'utilisation de la technique de "l'ADN de parentèle" sur 9 ADN inconnus. Comme vous l'explique RTL, cette méthode récente permet de prélever un ADN et de remonter cette trace jusqu'à des membres d'une même famille grâce aux gènes héréditaires concrètement, on identifie les parents du coupable pour trouver le coupable. Par ailleurs, la chambre d'instruction de Dijon, chargée de l'examen des requêtes, a autorisé 37 autres prélèvements ADN dans l'entourage du petit garçon de 4 ans et de ses parents Jean-Marie et Christine Villemin. Dans un registre autre, la justice a aussi donné son accord pour une comparaison des lettres du corbeau avec des cahiers saisis chez plusieurs personnes lors de l'enquête. Seul refus de la chambre d'instruction celui d'identifier le médecin ayant pris en charge Murielle Bolle après qu'elle aurait tenté de mettre fin à ses jours alors qu'elle venait tout juste, face aux gendarmes, d'accuser son beau-frère Bernard Laroche d'avoir enlevé le petit Grégory. Elle avait ensuite retiré ses allégations avant que Bernard Laroche ne soit assassiné par Jean-Marie Villemin. En 2020, la cour d'appel de Paris avait confirmé l'annulation de la totalité de la garde à vue de Murielle Bolle qui s'était déroulée sans la présence d'un avocat. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info

MurielleBolle, le 2 décembre 1994 à Dijon. — Une enquête a été ouverte après une plainte de Murielle Bolle , au

Toujours écrouée pour "enlèvement suivi de mort" dans l'affaire du meurtre de Grégory Villemin, Murielle Bolle aurait fait des confidences accablantes à sa tante au sujet de son beau-frère, Bernard le 30 juin, Murielle Bolle est écrouée après avoir été mis en examen pour "enlèvement suivi de mort" dans l'affaire du meurtre de Grégory Villemin, dont elle est l'une des protagonistes principale. Ce mardi 4 juillet, le parquet de Dijon, qui a fait un point sur le dossier, a estimé qu'une remise en liberté sous contrôle judiciaire "n'était pas opportune." Les enquêteurs veulent avoir le fin mot de l'histoire dans les faits qui se sont déroulés le 16 octobre 1984 quand le corps du garçonnet de 4 ans a été retrouvé sans vie dans les eaux de la Bolle, âgée de 15 ans à l'époque, avait révélé en garde à vue l'implication de son beau-frère, Bernard Laroche, qui était venue la chercher à son collège avant de prendre en chemin un enfant, qui ressemblait à Grégory. Il l'aurait déposé quelque part ensuite. Après avoir confirmé sa version des faits à trois reprises, la mère de famille de trois enfants s'était ensuite rétractée en clamant l'innocence de son beau-frère. Elle aurait agi ainsi sous la pression de sa famille, qui ne l'aurait pas ménagée selon le témoignage d'un enquêteurs sont persuadés que Murielle Bolle continue de mentir sur son récit de cette journée, 32 ans après les faits. Dans le dossier d'enquête, le juge Simon, qui a instruit l'affaire Grégory à la fin des années 1980, a recueilli des témoignages sur des confessions accablantes de Murielle Bolle à sa tante Louisette. A trois reprises, elle lui aurait confirmé l'implication de Bernard Laroche dans l'enlèvement du petit Grégory selon le quotidien, Le Parisien, de ce mercredi 5 juillet. Des moments difficiles à vivre pour elle. A chaque fois, Murielle Bolle a "beaucoup, beaucoup" pleuré.
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"Le HuffPost" a vu en avant-première le documentaire Netflix qui revient sur l'affaire DSK, du Sofitel au Carlton, et dans lequel s'expriment Nafissatou Diallo et Tristane Banon notamment. Netflix Le documentaire "Chambre 2806" de Netflix sur l'affaire DSK, du Sofitel au Carlton, sera disponible le 7 décembre 2020 Netflix AFFAIRE DSK - Le 14 mai 2011, Dominique Strauss-Kahn est arrêté par la police new-yorkaise. Alors président du FMI et en solide place dans la course à l’élection présidentielle 2012, DSK est accusé par Nafissatou Diallo, femme de chambre de l’hôtel Sofitel, “d’agression sexuelle” et de “tentative de viol” selon les chefs d’accusation de l’époque. Neuf ans plus tard, Netflix consacre une série documentaire à cette affaire médiatique retentissante, réalisée par le cinéaste Jalil Lespert et produite par l’agence Capa. Le HuffPost a pu visionner en avant-première les 4 épisodes d’une heure de cette série intitulée “Chambre 2806 l’affaire DSK”, fruit d’un travail de près de 2 ans et demi, qui sera disponible pour les quelque 195 millions d’abonnés de la plateforme de streaming le lundi 7 décembre prochain. “L’affaire DSK, ou plutôt les affaires DSK ont eu un retentissement international et vont bien au-delà d’un fait divers. Elles touchent plusieurs sujets de société, des thématiques qui restent d’actualité. C’est une sorte de MeToo avant l’heure, avec des témoignages de femmes, exceptionnels pour l’époque, qui font figure de précurseurs”, explique d’entrée le producteur Philippe Levasseur et directeur général de Capa Presse, rencontré par Le HuffPost à quelques jours de la sortie de la série. Le déroulé des affaires DSK Les quatre épisodes du documentaire, tournés entre avril 2019 et l’automne 2020, retracent en effet bien plus que l’affaire centrale du Sofitel, survenue en mai 2011. Ils reviennent en 2008, alors que Dominique Strauss-Kahn, directeur du FMI et parmi les hommes politiques les plus puissants du monde, est la cible d’une enquête pour népotisme dans le cadre de relations intimes avec une subordonnée, Piroska Nagy. Puis ils déroulent l’affaire de la “suite 2806” pour laquelle DSK sera poursuivi pour sept chefs d’accusation, dont ceux d’acte sexuel criminel, de tentative de viol, d’abus sexuel et de séquestration. Celui qui a toujours plaidé non coupable verra finalement le juge abandonner les poursuites à la demande du procureur après trois mois d’enquête. Avant qu’un accord financier conclu avec Nafissatou Diallo ne mette fin à toutes les procédures engagées au civil. Le documentaire revient aussi sur le témoignage de Tristane Banon, “l’autre affaire DSK” comme l’ont qualifié les médias à l’époque. Alors qu’éclatent les révélations du Sofitel, les accusations de la romancière et journaliste refont surface. Au début du mois de juillet 2011, Tristane Banon porte plainte pour tentative de viol contre Dominique Strauss-Kahn pour des faits remontant à février 2003. Une plainte classée sans suite, car les faits sont prescrits. Le quatrième épisode évoque lui l’affaire du Carlton de Lille, dans laquelle des prostituées font état de relations sexuelles violentes avec Dominique Strauss-Kahn lors de soirées organisées par un chargé des relations publiques du Carlton et son ami Dominique Alderweireld dit “Dodo la Saumure”. Bien conscients que toute cette suite d’affaires “aussi médiatique que sociétale” comporte encore “beaucoup de zones d’ombre, d’interrogations et suscite des fantasmes”, Jalil Lespert et le producteur de la série assurent avoir voulu analyser ce “cas fascinant” avec du recul et de la perspective. Mais aussi “apporter de nouveaux témoignages” pour “remettre des faits d’équerre”. Nafissatou Diallo, un “moment improvisé” S’il n’y a pas à proprement parler de révélations sur les affaires DSK dans cette série documentaire, la liste des intervenants est indéniablement riche. Parmi les témoignages les plus marquants, il y a évidemment celui de Nafissatou Diallo qui, neuf ans après les faits, revient sur le déroulé de l’agression dont elle dit avoir été victime avec des détails glaçants. “Ce n’était pourtant pas écrit que Nafissatou Diallo s’exprimerait”, assure au HuffPost Philippe Levasseur. “Évidemment qu’on a tenté par tous les moyens de la convaincre du bien fondé de notre demande, mais ça a mis du temps”. Netflix Nafissatou Diallo témoigne devant la caméra du documentaire "Chambre 2806 l'affaire de DSK" sur Netflix Netflix La rencontre avec l’ancienne femme de chambre, aujourd’hui âgée de 41 ans, s’est finalement faite quelques jours à peine avant que Jalil Lespert quitte New York après les derniers jours de tournage de la fameuse suite 2806 au tribunal, en passant par Rikers Island. “Un moment très particulier qui s’est quasiment improvisé”, raconte le réalisateur qui se souvient avoir fait face à “quelqu’un de très discret et impressionné, qui aspire plutôt à l’anonymat, mais sentait qu’elle avait besoin de parler pour aider les autres.” Si à plusieurs reprises, Nafissatou Diallo laisse couler des larmes ou s’interrompt d’un “je n’ai pas envie de parler”, elle reprend finalement le fil et confie face à la caméra “Plus je parle, mieux je me sens. Je m’en défais, même si ça ne s’en va jamais vraiment.” La Française Tristane Banon intervient aussi à l’écran. On la retrouve notamment avec une séquence d’archives stupéfiante, tirée de son passage dans l’émission “93 Faubourg Saint-Honoré” de Thierry Ardisson en 2007. Alors qu’elle raconte avoir été victime d’une agression sexuelle, les invités s’esclaffent - exemple criant de la médiocre prise en compte de la parole des femmes à l’époque. Le dernier épisode comprend également le témoignage fort de Mounia R., l’une des prostituées du Carlton. Des enquêteurs jusque là “tenus au secret” “Il y a évidemment des versions très contradictoires dans cette affaire, donc notre règle dès le début a été d’avoir le panel le plus large possible dans une volonté d’équité”, précise le producteur de la série documentaire. Suivent alors les témoignages des enquêteurs américains qui étaient en charge de l’affaire. “Eux n’avaient jamais parlé, parce qu’ils étaient tenus au secret. Mais on est arrivés au moment où ils avaient retrouvé une liberté de parole parce que l’un est à la retraite, l’autre devenu détective privé”. L’ancien chef adjoint de la police de New York, Michael Osgood, se souvient d’une Nafissatou Diallo “convaincante et cohérente” dans ses interrogatoires, et assure que “la thèse du rapport consenti ne fait pas le poids”. L’enquêteur au bureau du procureur de l’époque, Robert Mooney, qualifie à l’inverse la femme de chambre “d’arnaqueuse” qui aurait voulu “soutirer de l’argent à DSK”. Sans oublier des journalistes l’Américain Edward Jay Epstein, auteur d’une longue enquête qui avait relancé l’hypothèse d’un complot politique contre l’ex-patron du FMI ou la Française Raphaëlle Bacqué, grand-reporter au journal Le Monde et co-autrice du livre à charge “Les Strauss-Kahn” avec Ariane Chemin. Netflix Jalil Lespert a tourné des images dans la suite 2806 du Sofitel de New York pour le documentaire de Netflix Netflix Lorsqu’on l’interroge sur ceux qui ont été les plus difficiles à convaincre, Philippe Levasseur évoque les hommes et femmes politiques. “On avait imaginé que les politiques français accepteraient plus de s’exprimer. Le tabou est encore fort dans la classe politique française Nicolas Sarkozy, François Hollande et le cercle politique de DSK à l’époque, tous ont refusé”, détaille-t-il. Reste donc Jack Lang, Elizabeth Guigou et Laurent Azoulai, qui reviennent sur “le cataclysme politique” qu’aura causé la chute de DSK au PS, alors qu’il s’apprêtait à déclarer sa candidature à la présidentielle. Anne Sinclair, qui partageait la vie de Dominique Strauss-Khan jusqu’à août 2012, apparaît dans plusieurs épisodes. Celle qui a été la directrice éditoriale du HuffPost à son lancement, n’a pas donné suite aux sollicitations de la production. Et Dominique Strauss-Kahn dans tout ça? Un simple panneau de texte à la toute fin du dernier épisode précise que “DSK a refusé [leur] demande d’interview”. Pourtant, les producteurs et le réalisateur ont été à plusieurs reprises en contact avec le principal intéressé et son entourage “On a notamment parlé au téléphone avec lui. Jusqu’au bout, on lui a proposé de s’exprimer. Il a hésité, puis refusé”. “Mais on a très vite compris que sa version sur cette affaire n’avait pas changé et que sa parole avait déjà été entendue”, soutiennent-ils. Les avocats américains de DSK, Ben Brafman et William Taylor, puis son avocat français Richard Malka à l’époque de l’affaire du Carlton, sont eux interviewés. Une perspective nouvelle Pour Jalil Lespert, une bonne majorité des témoins rencontrés au cours des 18 mois passés sur le tournage en France ou aux États-Unis “ressentaient le besoin de clore le débat” avec ce documentaire. Pour le spectateur, pas sûr que le résultat soit le même tant ces 4 heures de visionnage mêlent une diversité de points de vue sur une affaire toujours aussi complexe. “Pourquoi un homme aussi intelligent, brillant, ambitieux, avec une carrière politique parfaite, s’effondre et se jette presque dans le vide? Parce que, quelle que soit sa qualification judiciaire, un acte est commis et précipite sa chute. C’est un mystère psychologique”, se questionne encore le producteur Philippe Levasseur. Mais neuf ans plus tard, “Chambre 2806 l’affaire DSK” a le mérite d’apporter un éclairage nouveau sur cette affaire et surtout sur sa place dans notre société contemporaine. “C’était d’autant plus intéressant de s’intéresser au cas DSK dans notre ère post-MeToo, parce que le monde a changé depuis”, assure le réalisateur qu’on ne peut contredire tant certains propos ou scènes redécouverts dans ce documentaire semblent d’une autre époque. “D’ailleurs en démarrant cette série, on avait nous-même sous-estimé cela”, poursuit le producteur. “Les manifestations des femmes de chambre et de mouvements féministes à New York, l’intervention des Femen lors du procès du Carlton de Lille... Cette affaire est bien plus qu’un fait divers, c’est aussi une histoire de la libération de la parole des femmes”. À voir également sur Le HuffPost Dupond-Moretti se voit reprocher son “silence” sur les violences conjugales
Toutesles bonnes choses ont une fin. Ce ne sont pas les volleyeurs du SA Spinalien qui diront le contraire. 9 DIAPORAMA Hockey sur glace : les Wildcats d'Epinal reprennent contact avec la glace En attendant que le groupe de D1 ne soit au complet avec l’incorporation de la majorité des ressortissants 74 Photos Secteur de Saint-Maurice-sur-Moselle : retour sur la 6e édition de la
L’Assemblée nationale rend ses conclusions Publié le 20/07/2018 Mercredi 18 juillet, la commission de l’Assemblée nationale sur l’affaire Lactalis remettait officiellement les conclusions de son enquête. Parmi les 49 propositions des parlementaires le durcissement des sanctions pénales et financières vis-à-vis des industriels et de la distribution, davantage de moyens alloués aux contrôles sanitaires ou encore le pilotage par un seul ministère des agences de sécurité alimentaires. C’est avec émotion et fierté que le président et le rapporteur de la commission parlementaire sur l’affaire Lactalis », Christian Hutin Nouvelle gauche et Grégory Besson-Moreau La République en marche, ont officiellement remis les conclusions de la commission sur l’affaire Lactalis au président de l’Assemblée nationale François de Rugy. Cette enquête parlementaire avait pour but d’identifier les dysfonctionnements qui ont entraîné la contamination de 38 nouveau-nés fin 2017 par des salmonelles présentes dans des laits en poudre produits sur le site Lactalis de Craon 53. De mars à mai 2018, elle a permis, au cours de ses 27 auditions, d’interroger 98 acteurs de l’affaire associations de victimes et de consommateurs, services de l’État, patrons de l’agroalimentaire et de la distribution. Et même le président de Lactalis, Emmanuel Besnier, connu pour sa discrétion confinant au mutisme et qui a donné du fil à retorde à la commission, comme le rapportait Christian Hutin lors de la remise du rapport. Défiance et torpillage Certaines sociétés sont allées jusqu’au bout pour torpiller notre commission », a expliqué le député. Ce qu’a confirmé François de Rugy lors de la cérémonie en relatant que le patron de Lactalis était allé jusqu’à lui demander via ses avocats l’annulation pure et simple de la commission avant de finalement se rétracter et de se rendre à sa convocation. Mais La République a gagné », s’est félicité Christian Hutin qui espère également que la prochaine mise en place du secret des affaires ne fera pas de cette commission Lactalis, la dernière aussi ouverte ». Transfert de compétence et renforcement des sanctions Côté propositions, le rapport de la commission développe 4 axes principaux pour améliorer la sécurité de la chaîne allant du producteur au consommateur. Il s’agit premièrement de renforcer les obligations pesant sur les industriels et les laboratoires d’analyses en matière de sécurité alimentaire. Les députés demandent notamment que tous les résultats susceptibles de montrer qu’un produit pourrait être préjudiciable à la santé humaine soient communiqués aux autorités et que les industriels soient tenus de détailler les mesures correctives mises en place pour faire cesser le danger potentiel. De plus, la certification des laboratoires d’analyses privés qui effectuent ces analyses pour le compte des industriels devrait être renforcée. Autre souhait de la commission améliorer l’efficacité et la fluidité entre les différents services de l’État en charge de sécurité alimentaire. Ils sont actuellement pilotés par trois ministères [agriculture pour la DGAL, Bercy pour la DGCCRF et santé pour la DGS] ce qui facilite les trous dans la raquette des contrôles », estime Grégory Besson-Moreau qui souhaite davantage de verticalité dans les contrôles de la fourche à la fourchette ». La commission souhaite donc que tous soient sous l’égide du seul ministère de l’Agriculture. Une proposition qui fait débat, réprouvée par Bercy, moins par le ministère de la Santé », a confié Christian Hutin. Pour garantir une meilleure efficacité des services de l’État, la commission propose également de créer 700 à 800 postes de fonctionnaires dédiés à ces contrôles. Pour les financer, la commission invoque la nouvelle redevance sur les industriels introduite par le règlement européen n° 2017/625. L’argent de cette redevance européenne devra être alloué à la gestion du Brexit et à la sécurité sanitaire », précise Christian Hutin. Reste à savoir dans quelles proportions… D’autre part, les parlementaires veulent harmoniser les procédures de retrait-rappel par les distributeurs en formant dans chaque magasin un référent sécurité alimentaire. Mais aussi en vérifiant régulièrement les procédures mises en place via l’organisation d’exercices en condition ou stress tests ». Enfin, les députés appellent à mieux protéger les consommateurs grâce à la mise en place d’un site unique et d’une application mobile rassemblant l’ensemble des informations utiles à la gestion d’une crise sanitaire. Mais aussi l’utilisation, en cas de situation d’urgence, des coordonnées bancaires des consommateurs. Ce qui ne manque pas d’interpeller l’UFC-Que Choisir sur le respect des données personnelles. La menace terroriste en ligne de mire Lors de la remise du rapport devant la presse, le président de la commission a, enfin, souligné le fait que cette commission d’enquête n’avait jamais eu pour but de faire le procès de qui que ce soit mais seulement de comprendre ce qui s’est passé ». Une procédure judiciaire est actuellement en cours au parquet de Paris, notamment suite à la plainte déposée par l’UFC-Que Choisir à l’encontre de Lactalis fin 2017, sans qu’un magistrat instructeur ait pour l’heure été désigné, selon le parlementaire. De son côté, le rapporteur de la commission et député En marche Grégory Besson-Moreau en a profité pour annoncer qu’il ferait, à partir de ces conclusions, une proposition de loi portant sur la sécurité des aliments avant la fin de l’automne. Rappelant au passage que les populations doivent être efficacement protégées contre d’éventuels dysfonctionnements mais aussi contre de possibles actes terroristes d’empoisonnement. Dans le contexte actuel, l’alimentation revêt une symbolique forte et nous nous devons d’y être préparé », a-t-il conclu.
Au soir du 16 octobre 1984, on repêche le cadavre d’un enfant ligoté, dans la Vologne, une rivière vosgienne. Le crime est revendiqué par un mystérieux corbeau L’affaire Grégory est née.
Cette année encore, France 3 Bourgogne a mené l'enquête au festival international du film policier de Beaune. Après l'arrivée des stars en direct sur le tapis rouge, rendez-vous était pris pour la cérémonie de clôture dimanche 6 avril, à 18h30, en streaming sur notre site L'événement s'implante à Beaune. Comme chaque année depuis 2009, début avril, les polars reviennent à Beaune, pour le festival international du film policier. Le jury de cette 6e édition était présidé par le réalisateur français Cédric Klapisch entouré de nombreuses stars. Pour ne rien manquer des temps forts du festival, France 3 Bourgogne avait mis du monde sur le coup Dimanche 6 avril, de 18h30 à 19h30 streaming "cérémonie de clôture", commenté par Théo SoumanComme l'an passé, et toujours sur notre site, France 3 vous a proposé de suivre en direct et en exclusivité la cérémonie de remise des prix comme si vous y étiez. Vous avez pu entendre les discours des membres du jury et des lauréats. Une soirée qu'il ne fallait pas manquer pour connaître le fin mot de l'histoire...1 -Festival du film policier de Beaune 2014... par France3-Bourgogne2 -Festival du film policier de Beaune 2014... par France3-Bourgogne durée de la vidéo 02 min 16 Festival du film policier de Beaune le palmarès 2014 Le résumé du palmarès du Festival du film policier de Beaune 2014Mercredi 2 avril, de 18h25 à 18h55 streaming "tapis rouge", commenté par Amélie Douay et Théo SoumanEn direct sur notre site internet, vous avez pu suivre l'arrivée des stars sur le tapis rouge beaunois Johnny Hallyday et Claude Lelouch sont venus présenter leur dernier film "Salaud on t'aime" projeté en ouverture. Des membres des jurys étaient présents Cédric Klapisch, Marie Gillain, François Berléand, Pauline Lefèvre, Marc Lavoine, Anne Parillaud, Fanny Valette, Pio Marmaï, et bien d'autres ont livré leurs premiers témoignages en tapis rouge du 6e Festival du Film Policier... par France3-BourgognePages spéciales dans le journal de 19 heures, de mercredi à dimancheNos reporters sur place vous ont proposé des reportages, des interviews de stars et des critiques des films en compétition dans des pages spéciales, diffusées à 19 heures dans le journal de France 3 Bourgogne. Le grand direct du midi a également été diffusé en direct de Beaune jeudi 3 avril. . 478 474 295 64 253 86 107 116

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